martes, 24 de febrero de 2015

LE "DROIT" A LA LIBERTÉ D'EXPRESSION EST UN MOT CREUX

Le droit à la liberté d’expression est un mot creux. Aucune loi ou groupe de personnes peut dicter mes droits; ni à la liberté d’expression, ni de mouvement, ni de action. Nous jouissons de notre liberté depuis notre naissance, et nous n’avons pas besoin d' un État qui nous modèle à son goût; plus précisément, au goût de ceux qui ont le pouvoir de la bureaucratie étatique.

Récemment à l’Espagne, le gouverne de PP dirigé par Mariano Rajoy a dicté une nouvelle loi répressive de nos libertés que se somme au conjoint des lois rangées à la Constitution bourgeoise espagnole. La loi connu entre les media comment « la ley mordaza », la loi bâillon, est seulement une de plus. Évidemment, la bureaucratie étatique ne va pas dicter des lois au profit des travailleurs pour luis permettre faire une grève heurtant, ou se manifester quand ils auront besoin; la bureaucratie étatique dicte les lois au profit de la bourgeoisie patronale pour défendre sus droits. Premièrement sur des papiers: la Constitution, et secondement à la rue, avec les corps de force et sécurité étatique qui assurent une effective exploitation de la classe ouvrière. Ça succède depuis siècles, je ne comprends pas pourquoi les jeunes s’alarment comme ça quand un fait réel deviennent classé.

Le sucées de «Charlie Hebdo» en relation à la liberté d’expression est liée à la discussion antérieure. Tous ce que s’ont mis le pin avec « je suis Charlie» défendent la presse et le droit bourgeoise de la liberté accueillí à la Constitution, cette pille de mots creux, sont hypocritement les mêmes qui rejettent certaines lois de même caractère bourgeoise, a la même constitution qui les recompile. Moi je NE SUIS PAS CHARLIE car je ne défends pas, et je ne défendrais jamais, aucune profit d'une loi dicté par la bourgeoise, même pas si elle à le propos de me défendre minimalement. Moi particulièrement, et la classe ouvrière en général, nous pouvons nous défendre sans l’aide d’une loi qui «défende nos liberté d’expression». Je n’ai pas besoin que l’État me « donne » ma liberté d’expression, car je l’ai toujours eu. Et si je dois la défendre, ce n’est pas contre des jeunes arabes avec ces cerveaux lavés par les idéologies de la petite bourgeoisie régionale de Moyen Orient. Si je dois défendre ma liberté, en tous ses aspects, l’objectif à abattoir serait les privilèges d’une classe sociale supérieure, pour atteindre une société sans classe aucune et, pourtant, avec la possibilité d’exercer chacun ses droits liés à la condition humaine.


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