jueves, 5 de marzo de 2015

LA CENSURE DANS BEAUDELAIRE


Le 20 août 1857 il est accusé d'un outrage à la morale publique, par ce qu'il se voit obligé de retirer six de ses poèmes. Nous avons à tenir en compte lequel, à la suite de cette condamnation, Baudelaire se décide à cultiver d'autre genre littéraire qu'il qualifie "plus dangereux encore que le poème dans un vers", le poème dans la prose, dont Les petits poèmes naîtront dans une prose, ou Spleen de Paris.

La condamnation par la publication des Fleurs du malheur est un cas controversial. Plusieurs des poèmes apparus dans ce livre déjà Baudelaire avait publiés dans de divers journaux sans aucune sanction. Mais la contradiction réside dans la politique ambiguë contre certains écrivains durant le gouvernement de Napoléon III. En principe l'amende a été de 300 francs, réduite tout de suite par l'impératrice à 50 francs, quand par la publication des mille cent exemplaires des Fleurs du Mal il a touché une huitième partie du prix de catalogue, ou 25 centimes (le double que par la traduction cinq volumes d'Edgar Allan Poe qu'il a fait entre 1856 et 1865) : ce qui se résume à une paye de 275 francs de moins l'amende initiale réduite à 50. En plus de la paye de 2500 francs - un salaire moyen annuel d'un fonctionnaire - d'aide à la création littéraire, ou l'allocation par maladie (la syphilis, dont il mourrait en 1867 et dont il maintiendrait pendant sa dernière année de vie sous les symptômes d'aphasie et d'hémiplégie) pour aider les frais de la clinique Paris.

Le double Est poseur de l'autorité voulait maintenir l'image de martyr de son littérateurs, sans les affecter directement, une circonstance celle-ci que ses hagiographes ne

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