martes, 24 de marzo de 2015

L'ART ET LA LIBERTÉ D'EXPRESSION


L'art et la liberté d'expression ont toujours eu une relation très proche, et ce qui s'est interposée entre les deux, c'est la censure. On peut facilement trouver beaucoup d'exemples dans l'histoire d'artistes qui on été censurés par le pouvoir politique ou religieux. La raison a été, principalement, la manque de moralité dans la nouveau oeuvre, qui, dans l'époque était très, on dirait trop, innovateur.

Mais, peut l'art être vraiment trop innovateur? N'est pas l'art l'innovation même? Effectivement, l'art a été le moyen avec lequel la société a changé, a progressé et est devenue ce qu'elle est maintenant. L'art est un miroir où elle s'est regardée, et où la censure n'a pas loin. Mais on a essayé de la y mettre. Les nues, la thématique religieuse traitée d'une façon "incorrecte", la critique social, l'exaltation de mouvements révolutionnaires... Tout ça a été raison pour censurer des œuvres littéraires et artistiques.

Alors, quelle est la relation entre art et censure? Aucune. L'art est expression des idées de l'auteur à travers d'un contenue et une forme révolutionnaires. La censure, c'est la suppression de ces idées pour la simple raison de n'être pas pour. Et ça n'est pas liberté d'expression.



domingo, 22 de marzo de 2015

LIBERTÉ D'EXPRESSION A LA PRESSE. ET LA LIBERTÉ DE CONSCIENCE QUOI?



La liberté de presse a était récemment a les bouches de tous. La question l’ai ouverte l’attaque à Charlie Hebdo, et la série d’évènements perpétrées par le ISIS et les autres groupes, plus minoritaires, du Prochain Orient.

La défense de la pluralité d’opinions à les medias est une lutte très louable mais, on défense véritablement la liberté d’opinion ou, par contraire, on défense inconsciemment la possibilité des grands groupes économiques de nous trainer vers ses intérêts ?

Manuel Valls le 19 de mars de 2015 a présenté un projet de loi que cherche concéder des pouvoirs presque illimités aux services secrets français, en détriment de la confidentialité des citoyens français.

Le 24 de février de 2015, le port avions Charles de Gaulle (pas Charlie Hebdo) entre en service ; huit avions de chasse ont bombardée objectifs du État Islamique a Irak ; encore plus travailleurs arabes ont été assassinées par Charlie Hebdo.


Contre le djihadisme et en faveur au pétrole ? Moi je suis contre le djihadisme, et contre les actions pour le pétrole.


martes, 10 de marzo de 2015

LE DJIHADISME ET LE NATIONALISME

Quel est le confit entre le djihadisme et la liberté d’expression? Directement chacun; la confrontation est collatérale. Il faut se plonger à la genèse de ce type de mouvement terroriste pour comprendre ses implications en la société et, plus concrètement, en la classe ouvrière des travailleurs. Une analyse exhaustive du terrorisme réactionnaire du Moyen-Orient ne sera pas possible car l’article doit être bref, mais un rapprochement est faisable.

Le « terrorisme réactionnaire » doit être mesuré dans les proportions des forces impliquées, malgré son impact symbolique; après l’attaque du 11-S, l’scenario au Moyen-Orient s’ouvrirait à l’intervention belliqueuse de caractère régional, comment succédait à Afghanistan et Irak. L’origine de ces « petites guerres » de ces « petites bourgeoisies » du Moyen-Orient les a analysé minutieusement Arrigo Cervetto a sa dissertation « la industrialisation coloniale », du mai 1959.  

Arrigo Cervetto, théorique marxiste, fait usage de l’analogie des successifs assauts de la bourgeoisie en France depuis 1789 jusqu’à 1848 en référence à la situation arabique.  Le monde colonial, écrit Cervetto a 1959, est « aujourd’hui a 1789 » au propos des luttes nationales pour son indépendance, « quand et comment ils arrivèrent a 1848? C’est impossible de savoir ». En 1967, la Guerre des Six Jours signifie la première vérification de cette analyse. Poursivons avec une référence aux écrits de Friedrich Engels sur les « petits peuples » sans prospectives.  

 « Au Moyen-Orient, comment aux Balkans, le progressif collapse des grands empires rouvre l’occasion aux minorités à ses petites luttes nationalistes sans futur. Comment ces minorités n’ont pas à eux seules la puissance nécessaire pour exprimer le niveau de violence d’une bourgeoisie révolutionnaire, comment la française a 1848, elles se rédigent au mythe du panslavisme, ou au terrorisme ».

Ce type de terrorisme est classe comme « réactionnaire », car suppose une réaction à la frustration des aspirations nationalistes d’une petite minorité, en ce cas, de Moyen-Orient. L’idéologie de la religion, employée par la bourgeoisie pour traîner les travailleurs arabes à ses luttes, n’a rien à voir avec le « droit » à la liberté d’expression. En tout cas,  cette bourgeoisie ait fait usage d’un prétexte qu’elle avait à main pour organiser une attaque désespéré.  Les fondements de cet attaque, identique a lequel du 11-S, ne s’exposeront pas car le caractère extrêmement synthétique de l’article.



Le seul « droit » violé est lequel des travailleurs arabes, les nommés djihadistes ; leur droit à la liberté de conscience, à rejeter les luttes nationalistes de la bourgeoisie et s’embarquer en la lutte socialiste des classes, pour réussir une société sans privilèges ni oppression. Mais les médias n'oseront pas à se prononcer pour la révolution ; c’est plus profitable manifester l’empiétement des djihadistes. Les États obtiennent son prétexte pour envahir des pays économiquement rentables. La bourgeoisie est satisfaite.



jueves, 5 de marzo de 2015

LA LIBERTÉ D'EXPRESSION AU COURS DE L'HISTOIRE


Depuis 1948, la liberté d'expression est intégrée dans la "Déclaration universelle des droits de l'homme". Nous considérons la "liberté d'expression" comme le droit de chaque humain à exprimer ses idées et opinions sans censure, c'est à dire, sans que ses pensées soient controlées ou omittés.
Avant du XXe siècle, en France et en Espagne, la liberté d'expression a été toujours un trait fondametal au parcours de grands évènements qui nous sont arrivés.

À continuation nous allons faire un petit recueil de cas oú la liberté d'expression a été violé où eliminée completement au fil des histoires des pays anterieurement mentionés.

Un des premiers cas de violation de la liberté d'expression pourrait être au XIIe siècle en Espagne avec l' Inquisition, qui était crée par l'Église catholique romaine et qui s'occupait de controler l'hérésie ( idées et practiques religeuses qui ne sont pas acceptées par l'Église catholique). Alors nous sommes devant un cas ou les croyances religieuses ( ou pas ) et la manifestation d'un Fe qui n'est pas basée en la Bible (Ancien et Nouveau Testament) étaient punis par cette institution religeuse sous peine d'etre brulés, maltraités et humiliés publiquement. Nous sommes devant d'un cas ou la liberté d'expression et de culte sont bien violées.

Six siècles aprés , nous arrivons à un point oú c'est la France qui coupe les libertés et les droits de la couronne Catalanoaragonaise. Depuis avoir gagné la Guerre de Succession, Philippe V, avec l'intention d'unifiquier les deux couronnes existents en ce moment-là ( Castilla et Aragó), promulgait un ensemble de lois connu comme les “Décrets de Nova Planta”, qui éliminaient les lois propres d'Aragó. Mais le pire c'étais le changement de la langue national: à partir de ce moment personne ne pouvais pas parler en publique en catalan, ni se diriger en catalan aux institutions, et finalement on doivait suivre la législation de la couronne de Castilla. Une autre fois on trouve dans l'histoire une agression totale de la liberté d'expression, mais en ce cas-là, ce qui nous est coupé c'est la liberté de nous exprimer en notre langage.


Finalement , on voyage jusqu'à 1938 , année dans laquelle est publié par le régime franquiste la Loi de Presse , qui comprennait des consignes obligatoires à suivre marqués par le dictateur Francisco Franco qui designait les directeurs des périodiques , pour s'assurer que les idées du franquisme se plasment à la presse et pas les idées contraires au régime. L'exemple de la presse c'est le plus rélevant en ce cas, mais la censure franquiste afectais aussi au thétre, à la musique, à la literature...


En concluance, nous pouvons voir avec ces exemples que la liberté d'expression est constamment agressé, c'est curieux comment le genre humain en place de travailler ensemble pour un bien cummun traite de contrôler la vie des autres pour le bien individuel.


http://www.google.es/url?sa=i&rct=j&q=&esrc=s&source=images&cd=&cad=rja&uact=8&ved=0CAYQjB0&url=http%3A%2F%2Ftrix-nitrix.blogspot.com%2F&ei=5Ur4VILhFsSrUcWxgLgP&bvm=bv.87519884,d.d24&psig=AFQjCNGATUAExUT9cnbtPHrmwltod5WvUQ&ust=1425644574541770

LA CENSURE DANS BEAUDELAIRE


Le 20 août 1857 il est accusé d'un outrage à la morale publique, par ce qu'il se voit obligé de retirer six de ses poèmes. Nous avons à tenir en compte lequel, à la suite de cette condamnation, Baudelaire se décide à cultiver d'autre genre littéraire qu'il qualifie "plus dangereux encore que le poème dans un vers", le poème dans la prose, dont Les petits poèmes naîtront dans une prose, ou Spleen de Paris.

La condamnation par la publication des Fleurs du malheur est un cas controversial. Plusieurs des poèmes apparus dans ce livre déjà Baudelaire avait publiés dans de divers journaux sans aucune sanction. Mais la contradiction réside dans la politique ambiguë contre certains écrivains durant le gouvernement de Napoléon III. En principe l'amende a été de 300 francs, réduite tout de suite par l'impératrice à 50 francs, quand par la publication des mille cent exemplaires des Fleurs du Mal il a touché une huitième partie du prix de catalogue, ou 25 centimes (le double que par la traduction cinq volumes d'Edgar Allan Poe qu'il a fait entre 1856 et 1865) : ce qui se résume à une paye de 275 francs de moins l'amende initiale réduite à 50. En plus de la paye de 2500 francs - un salaire moyen annuel d'un fonctionnaire - d'aide à la création littéraire, ou l'allocation par maladie (la syphilis, dont il mourrait en 1867 et dont il maintiendrait pendant sa dernière année de vie sous les symptômes d'aphasie et d'hémiplégie) pour aider les frais de la clinique Paris.

Le double Est poseur de l'autorité voulait maintenir l'image de martyr de son littérateurs, sans les affecter directement, une circonstance celle-ci que ses hagiographes ne

martes, 24 de febrero de 2015

LE "DROIT" A LA LIBERTÉ D'EXPRESSION EST UN MOT CREUX

Le droit à la liberté d’expression est un mot creux. Aucune loi ou groupe de personnes peut dicter mes droits; ni à la liberté d’expression, ni de mouvement, ni de action. Nous jouissons de notre liberté depuis notre naissance, et nous n’avons pas besoin d' un État qui nous modèle à son goût; plus précisément, au goût de ceux qui ont le pouvoir de la bureaucratie étatique.

Récemment à l’Espagne, le gouverne de PP dirigé par Mariano Rajoy a dicté une nouvelle loi répressive de nos libertés que se somme au conjoint des lois rangées à la Constitution bourgeoise espagnole. La loi connu entre les media comment « la ley mordaza », la loi bâillon, est seulement une de plus. Évidemment, la bureaucratie étatique ne va pas dicter des lois au profit des travailleurs pour luis permettre faire une grève heurtant, ou se manifester quand ils auront besoin; la bureaucratie étatique dicte les lois au profit de la bourgeoisie patronale pour défendre sus droits. Premièrement sur des papiers: la Constitution, et secondement à la rue, avec les corps de force et sécurité étatique qui assurent une effective exploitation de la classe ouvrière. Ça succède depuis siècles, je ne comprends pas pourquoi les jeunes s’alarment comme ça quand un fait réel deviennent classé.

Le sucées de «Charlie Hebdo» en relation à la liberté d’expression est liée à la discussion antérieure. Tous ce que s’ont mis le pin avec « je suis Charlie» défendent la presse et le droit bourgeoise de la liberté accueillí à la Constitution, cette pille de mots creux, sont hypocritement les mêmes qui rejettent certaines lois de même caractère bourgeoise, a la même constitution qui les recompile. Moi je NE SUIS PAS CHARLIE car je ne défends pas, et je ne défendrais jamais, aucune profit d'une loi dicté par la bourgeoise, même pas si elle à le propos de me défendre minimalement. Moi particulièrement, et la classe ouvrière en général, nous pouvons nous défendre sans l’aide d’une loi qui «défende nos liberté d’expression». Je n’ai pas besoin que l’État me « donne » ma liberté d’expression, car je l’ai toujours eu. Et si je dois la défendre, ce n’est pas contre des jeunes arabes avec ces cerveaux lavés par les idéologies de la petite bourgeoisie régionale de Moyen Orient. Si je dois défendre ma liberté, en tous ses aspects, l’objectif à abattoir serait les privilèges d’une classe sociale supérieure, pour atteindre une société sans classe aucune et, pourtant, avec la possibilité d’exercer chacun ses droits liés à la condition humaine.